jeudi 14 juillet 2011

Limitless (sans limite)



Bradley Cooper sors de son registre de déconneur suite aux deux "Very Bad Trip"

Il incarne un écrivain raté, peu soigné et nonchalant, perdant peu à peu contact avec la société.
Un beau matin, il croise une ancienne connaissance, de fil en aiguille ce dernier va lui offrir une pilule qui va changer sa vie...

Celle ci aura la faculté d'exploiter les neurones du cerveau à 100% (vous n'êtes pas sans savoir qu'actuellement tout être humain utilise seulement 10% de ses capacités neuronales)
Ainsi...son QI passe à 4 chiffres, il change de vie...et on assiste à sa métamorphose.

Le scénario est, chronologiquement parlant, bien structuré. Les rebondissements ne sont pas téléphonés comme on pourrait s'y attendre, c'est agréable la surprise dans un film après tout.
Ça vends clairement du rêve. Qui n'aimerais pas avoir une pilule qui rends intelligent à tel point que le simple fait de regarder une émission permette d'apprendre les ficelles d'un métier?

Forcément, le film ne peux pas s'atteler uniquement au besoin irrépressible de l'homme vers la perfection intellectuelle. Un parcours semé d'embuches et de jalousie prends alors forme.

Malgré quelques stéréotypes bien lourd à force, le film a tendance à renouveler un genre, celui de la décadence qui se fixe tout au long du film.

Au final, un Bradley Cooper féroce et malin à souhait grâce à ces fameuses pilules, qui ne manquera pas d'inculquer une leçon de vie à quelques personnages du film.

Mention honorifique pour De Niro, incarnant parfaitement le rôle du courtier pressé et maitrisant sur le bout des doigts son job.

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